Encre du Coeur
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Alkwâ

Alkwâ


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MessageSujet: {* Sans Titre.   {* Sans Titre. Icon_minitimeMar 29 Juil - 20:58

Commentez, je veux savoir ce qui est bien ou non
Le personnage principal est un jeune homme de 17ans.


    On s’amuse, on rit ensemble. Elle sourit donc je souris. Elle est si belle. J’aime ses yeux bleus si joliment dessinés, j’aime aussi son rire qui sonne si bien à mes oreilles. Quoiqu’elle ait pu faire avant que je ne la rencontre, je l’adore. Peut être même que je l’aime après tout. On est installé dans un parc, sur un banc ; elle m’explique comment son petit ami l’a invitée à sortir avec lui. J’écoute tout ce qu’elle me dit sans montrer à quel point j’ai mal. J’aimerais tant être à la place de ce jeune homme qu’elle apprécie beaucoup apparemment. Je me perds dans mes pensées en lui faisant croire que je l’écoute. Pourquoi ne m’a-t-elle pas remarqué ? Pourquoi ne voit-elle pas à quel point j’ai mal de la voir si heureuse avec un autre que moi ? J’ai un moment d’absence, et elle, elle continue à parler sans le remarquer tellement elle est heureuse. J’ai si mal… J’ai beau l’écouter, je ne l’entends plus et j’ai beau la regarder je ne la vois plus ; je préfère me projeter dans ce monde que je voulais si parfait qui n’est finalement qu’une utopie, une illusion. Elle a fini de parler. Je la regarde et lui souris doucement. Elle me demande si je vais bien, je lui réponds par un signe de tête que oui, je vais bien. Finalement, quelques minutes plus tard, elle part pour aller rejoindre celui que je déteste plus que tout depuis une petite demi-heure.

    Je rentre chez moi, las de tout. J’ai envie de lui dire que je l’aime, depuis que je l’ai rencontrée. Mais j’ai peur que cela ne soit pas réciproque et que notre amitié ne se brise. Habituellement je n’ai que dix minutes de marche pour arriver dans l’appartement où je vis, mais aujourd’hui je ne sais pas où je vais, je n’ai pas envie de me retrouver face à ma belle-mère, de devoir me montrer insensible à ses critiques. Finalement, ma belle-mère a peut être raison. Peut être que je ne suis qu’une erreur de mon père, que je n’ai rien à faire ici, cela serait plus facile, pour elle, pour mon amie et pour moi. Cela fait trente minutes que je marche, je ne vois pas encore l’immeuble où j’habite. J’ai dû oublier de tourner à un carrefour. Pas grave, je marcherai un peu plus, je verrai ma belle-mère un peu moins. Je soupire doucement et baisse la tête tout en plongeant une main dans ma poche pour en ressortir mon i-pod. Je l’allume et je mets une musique au hasard. Cela tombe sur Last Song de Gackt.


    « Atemonaku hitori samayoi arukitsuzuketa » (J’ai continué à errer sans but, tout seul) C’est assez rare quand une chanson me touche autant. Mais celle-ci me parle, c’était comme si Gackt l’avait écrite pour moi. Je sens les larmes me piquer les yeux pendant que la musique continue. Je me sens mal, je ne veux pas pleurer maintenant, pas au milieu de la rue comme ça. Après tout je suis presque un homme, et les hommes ne pleurent pas comme dirait ma belle-mère. Je me rends compte à quel point je suis faible et seul. « Anata no kokoro no naka ni zutto saiteitai kara » (J'ai toujours envie de m'épanouir dans ton cœur) Je l’aime, je veux le lui dire. Une larme coule le long de ma joue pendant que j’entre dans l’ascenseur de l’immeuble où se trouve mon appartement.

    Je fixe le numéro des étages qui s’illumine, bientôt le premier étage, il ne m’en reste plus que trois à faire. La chanson me fait mal, mais je ne peux m’empêcher de l’écouter. C’est délivrant en même temps. La boîte de métal arrive enfin au premier étage. Mon regard se pose sur la porte qui coulisse et laisse entrer trois personnes qui m’observent avec pitié. D’un geste vif et brusque, j’efface les quelques larmes qui avaient coulé le long de mes joues et je sors de l’ascenseur rapidement. Je me dirige rapidement vers les escaliers. Je devrais être tranquille normalement puisqu’il est quand même vingt-deux heures. La musique prend finalement fin, j’éteins mon i-pod et je me mets en route pour les trois étages que je décide donc de faire à pied. Je monte lentement chaque marche, comme si la pire des choses m’attendait en haut. Je compte les marches, neuf, dix. Encore trente-cinq avant d’arriver à mon étage. Douze, treize, quatorze, quinze. Me voilà au deuxième étage, encore trente marches.


    Après un moment, j’arrive enfin à l’avant dernière marche. Je ralentis encore un peu plus mon allure pour finalement m’arrêter et m’asseoir sur la dernière marche. Et là, je me libère, je me mets à pleurer, je laisse sortir toutes ces larmes que j’ai retenu depuis ce soir. Contrairement à ce que j’avais pensé, il y a quelques personnes qui passent près de moi en me jetant des regards surpris, c’était si rare de me voir pleurer, moi le jeune homme qui sourit tellement quand je croise quelqu’un dans le hall de l’immeuble… Après dix minutes, une petite fille et sa mère passent à côtés de moi. La petite, je la connais, elle me considère comme son grand frère. Elle lâche la main de sa mère et vient vers moi pour m’attraper la main en me disant que je ne devais pas pleurer sinon elle pleurerait aussi. A ces mots, je m’arrête. Je ne veux pas que cette petite ne pleure à cause de moi. J’essaye de lui sourire doucement et la remercie avant de saluer sa mère et de me relever. Je regarde la petite qui rejoint sa mère qui l’attendait trois marches plus bas avec un léger sourire puis je me remets en route vers l’appartement.

    Avant d’ouvrir la porte, je jette un coup d’œil à mon portable, cela fait plus d’une heure que je devrais être chez moi. J’espère que ma belle-mère est déjà couchée, au moins je retarderai les reproches de quelques heures. J’ouvre doucement la porte pour ne pas faire de bruit et la referme de la même manière avant de me faufiler jusqu’à ma chambre. C’est étrange, l’autre folle n’est pas là. Elle dort ? Je me risque à aller jeter un coup d’œil dans sa chambre, elle n’y est pas, mon père non plus. Encore plus étrange. Je tente le tout pour le tout et me dirige vers le salon, où ma belle-mère se trouve. J’ose la fixer dans les yeux, le massacre commence.


    « Quand on te dit dix heures, tu comprends pas quoi ? Et puis t’as pleuré ?! Les hommes ça ne pleurent pas j’ai déjà dit ! Tu es pitoyable. Plus que pitoyable. »

    Et moi, je reste immobile à l’écouter. Après six ans de vie commune avec cette furie, je crois que j’ai compris que je ne suis pas un homme d’après elle et qu’elle ne me porte pas dans son cœur. Malgré cette routine qui s’installe au bout de quelques années, ces paroles me blessent toujours, mais je ne le montre pas, je ne réagis plus. J’ai déjà trop donné. Je reste là, à l’écouter sans l’entendre, à fixer un point invisible devant moi. Normalement, dans trente secondes, elle va me mettre une gifle et je ne vais pas réagir, comme toujours. Mais aujourd’hui, rien ne va se passer comme d’habitude. J’attends la gifle sans le montrer, comme cela je pourrais m’enfermer dans ma chambre et pleurer une seconde fois dans la soirée ; mais elle n’arrive pas. Je regarde ma belle-mère et je la vois qui regarde derrière moi.

    J’ai peur. Je me retourne et je vois mon père. Une chose me choque : des larmes coulent le long de ses joues pendant qu’il me fixe l’air désespéré. Je sens mes jambes commencer à trembler. C’est la première fois depuis la mort de ma mère qu’il me regarde ainsi. Je suis terrorisé. Je m’approche du mur le plus proche pour m’y appuyer, j’ai peur de ce que mon père va annoncer. Je détourne mon regard pour ne plus voir cette expression qui m’a longtemps hanté, et je le pose sur ma belle-mère qui affiche une mine triste elle aussi. J’ai envie de crier pour demander ce qu’il se passe mais aucun son ne sort de ma bouche. Les larmes montent avant que je ne sache quoique ce soit. J’ai vraiment peur… Mon père prend finalement la parole, il sait que je ne vais pas tenir plus longtemps.


    « Jen’ a eu un accident. Elle est… »

    Il n’arrive pas à finir sa phrase. Je le regarde désespéré. Ce n’était pas possible, pas encore, pas déjà. Pas avant que je lui dise mes sentiments. Mes jambes cèdent sous mon poids, les larmes commencent à couler lentement et silencieusement sur mes joues. Je replie mes jambes vers moi et prends la même position qu’il y a dix ans quand ma mère est morte : j’enlace mes genoux et y dépose ma tête. Je suis secoué par une vague de sanglots qui ne veut pas s’arrêter. Ma belle mère s’approche de moi et tente de m’enlacer mais je la repousse. Je calme du mieux que je peux mes larmes puis je me relève en m’appuyant sur le mur. La tête baissée, j’avance vers la salle de bain. Des paroles de Jen’ me reviennent en mémoire. « Je serais toujours là pour toi, promis. » Menteuse ! Deux fois dans la même journée, tu m’as abandonnée. « Plus tard, on se mariera ensemble d’accord ? » Qu’on était amoureux quand on avait neuf ans, mais finalement, tu m’as effacé de ton cœur, tu as oublié cette promesse.

    C’est bientôt fini.

    J’arrive dans la salle de bain. Je me regarde dans le miroir quelques instants avant de me passer la tête sous l’eau froide. Ma belle-mère a raison, je suis pitoyable. Alors que mon regard remonte pour se poser une nouvelle fois sur mon reflet, je vois quelque chose qui pourra m’aider. Je prends cette chose et la mets dans ma poche avant de sortir et de me diriger vers la sortie tel un automate. J’annonce à mon père que j’allais prendre l’air et celui-ci n’essaye pas de me rattraper, il sait que j’en ai besoin. Ma belle-mère, elle, est inquiète. Elle a peur que je ne demande à son mari de la quitter, de recommencer une nouvelle fois. Mais moi, tout cela m’est bien égal. J’arrive près de l’ascenseur que j’attends quelques secondes à peine. Il est vide, tant mieux.

    Je monte dedans et le fais descendre au rez de chaussé. Mais, quand la boite arriva entre le premier et le deuxième étage, mon bras se lève et ma main appuit sur le bouton d’arrêt d’urgence. Je me laisse glisser contre la paroi froide qui se trouve derrière moi et fixe le vide quelques instants avant de sortir doucement mon portable ainsi que la chose que j’avais pris dans la salle de bain, une lame de rasoir. Encore un peu de patience… Je prends mon portable et écris un message que j’envois à mon père. Un simple
    « Je vous aime. Je suis désolé. ». Et quand je reçois l’accusé de réception, je prends la lame que j’avais posée et l’approche de mon poignet lentement. Je n’ai pas le droit à l’erreur, et je n’ai pas beaucoup de temps non plus. Les larmes coulent sur mon visage, j’hésite. Normalement, dans dix secondes, mon père va appeler le concierge qui va appeler les pompiers et le Samu pour essayer de me sauver la vie. Plus que cinq secondes. Je suis lâche, je n’y arrive pas.

    La lame descend toujours vers mon poignet et mon regard, brouillé par les larmes, est posé dessus. Est-ce vraiment la bonne solution ? Je tremble, j’hésite. Ma main lâche la lame malgré moi, mais je ne la ramasse pas pour le moment. J’ai encore le temps, les pompiers n’arrivent que dans cinq minutes. Mon père essaye de m’appeler, je ne réponds pas je fixe simplement mon portable. Après dix appels, je décide de l’éteindre. Encore trois minutes. Je reprends la lame en main et la repose délicatement sur mon poignet. Mon visage ne doit plus ressembler à rien tellement les larmes l’ont dévasté en quelques minutes. J’ai froid, j’ai peur, je me sens seul, vide, lâche. J’entends les sirènes des pompiers qui arrivent. Je n’ai plus beaucoup de temps. C’est décidé.

    Je prends mon courage à deux mains et appuie légèrement sur la lame de métal. Mais quand les premières gouttes de sang apparaissent, je me sens encore plus mal. Je dois continuer, pour te retrouver, pour vous retrouver. J’hésite encore. Je me force, la lame s’enfonce un peu plus dans ma chair. J’ai mal. Encore un peu et tout sera fini… Finalement, je jette la lame plus loin, je ne peux pas abandonner mon père comme ça. Je reste immobile, pensif. Je suis un lâche, un trouillard. J’ai honte. Je pose mon regard sur mon poignet, il saigne abondamment. J’ai encore peur. Viens me chercher papa, s’il te plait. Les larmes ont arrêté de couler maintenant, je n’ai plus de force pour. J’ai du mal à rester conscient. Pourquoi les pompiers ne se dépêchent-ils pas un peu ?

    J’ai si peur, j’ai si froid, papa, aide-moi. Je sens la boîte de métal reprendre lentement sa descente et s’arrêter dans le hall. Je vois les portes s’ouvrir doucement en laissant passer la lumière vive du hall. J’ai mal aux yeux. J’aperçois aussi deux silhouettes s’approcher de moi et me parler, mais je ne comprends pas ce qu’ils me disent. Une seule chose m’importe c’est de trouver mon père, de le rassurer. Mes yeux se ferment doucement, j’essaye de résister mais je ne peux pas. J’entends la voix de mon père près de moi, il semble inquiet. Et avant de sombrer dans l’inconscience, je murmure un seul mot :
    « Désolé… »
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Alkwâ

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MessageSujet: Re: {* Sans Titre.   {* Sans Titre. Icon_minitimeMar 29 Juil - 20:59


    Plusieurs années plus tard.

    Je suis là, assis devant sa tombe, silencieux. Elle a été enterrée non loin de ma mère, c’est dur pour moi. Cela va faire cinq ans que Jen’ m’a quitté, cinq ans que je ne pense qu’à elle, cinq ans que je me reproche ma lâcheté, cinq ans aussi que toutes les semaines je viens me poser ici devant cette tombe qui me rappelle à quel point je suis seul. Je n’arrive pas à faire mon deuil, c’est horrible cette sensation de vide qui me prend à chaque fois que mon regard se pose sur la pierre tombale. J’ai appris, une semaine après sa mort, que son soit disant petit ami lui avait posé un lapin et qu’elle avait voulu me rejoindre chez moi mais comme je n’y étais pas, elle était repartie, seule elle aussi. Au moins, elle a ressenti quelques minutes au moins ce que je ressens depuis cinq ans. Je ne la pleure plus, j’ai déjà trop pleuré pour elle. Depuis sa mort, il n’y a pas beaucoup de choses qui ont changé chez moi. Ma belle-mère continue de me rabaisser en permanence, de me dire que c’est pitoyable d’avoir cette attitude depuis cinq ans maintenant. Elle a raison, je dois tourner la page, mais je n’y arrive pas.

    Cela va faire près de deux heures que je suis devant cette tombe, immobile. Je n’ai vu encore personne aujourd’hui, pas même mon père. Jen’ me manque, ma mère aussi. Et mon père, n’en parlons pas : depuis sa mort et ma tentative de suicide, il travaille deux fois plus, pour éviter de me voir peut être, je n’en sais rien. Je sais juste que je souffre de cette absence. Je soupire doucement et mon regard se pose sur mon poignet où se trouve maintenant une cicatrice, une erreur du passé. Je n’avais pas eu le courage d’en finir. J’ai dû voir un psychologue pendant un an, pour calmer mes soit disant pulsions suicidaires. Stupide. Ils ont été stupides de m’envoyer le voir ; à chaque fois, je m’installais sur le fauteuil destiné au patient et je lui racontais toujours la même chose. Trois fois par semaine, pendant un an. Finalement, le psy avait mis fin à mes consultations, prétextant que cela m’aiderait peut être à faire mon deuil. Sottise.

    Une main se pose sur mon épaule. Mécaniquement, je tourne la tête et mon regard suit le bras pour se poser sur le visage de mon père. J’essaye de sourire, c’est trop dur. Cela fait cinq ans que je n’ai pas souri, cinq ans que je n’ai pas ri, que je ne suis pas tombé amoureux, que je ne sors que pour venir ici ou aller en cours. Vois-tu ce que tu m’as fait en m’abandonnant Jen’ ? Il me fait signe de me lever, je m’exécute. Cela me fait du bien de le voir. Nous montons dans la voiture, il a sûrement l’intention de me ramener à l’appartement avant de retourner travailler. Je ne dis pas un mot, j’observe simplement le paysage qui défile derrière la fenêtre. Un paysage qui au bout d’un moment me devient inconnu. Je pose mon regard sur mon père qui se contente d’hocher doucement la tête en souriant légèrement. Je lui offre un sourire presque invisible et repose mon regard sur le paysage.

    C’est fini. On va recommencer ensemble, encore une fois.



L'histoire est trop longue, alors double post, désolée =S
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MessageSujet: Re: {* Sans Titre.   {* Sans Titre. Icon_minitimeMer 30 Juil - 15:29

Putain elle est trop belle ton histoire TT Trop triiste TT Bravo en tout cas TTT
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Alkwâ

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MessageSujet: Re: {* Sans Titre.   {* Sans Titre. Icon_minitimeMer 30 Juil - 16:39


    Bah merci =)
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MessageSujet: Re: {* Sans Titre.   {* Sans Titre. Icon_minitime

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