Nom d'Auteur : Poudre
Age : presque onze ans
Niveau estimé : je ne sais pas.Où as-tu connu Encre du Coeur ? Sur Cat-life
Exemple de Texte :
Alix, fille de cirque.
Le soleil se levait et nous partions, les caravanes rouges et jaunes se suivant, la représentaion était finie. Je pense que vous l'aurez compris, j'habite dans un cirque. Je m'appelle Alix, j'ai onze ans, deux frères, un père et une mère. Il y a bien d'autre enfants, dans ce cirque. Je jetais un dernier regard sur cette ville, la seule ville où j'ai des amis, quand ma mère m'appella :
-Alix, nous partons.
Je soupirais, dis au revoir à mes amis et rejoignis notre caravane. Alors, commença le long voyage. Il était long parce que le village était dans un trou perdu, en pleine campagne. Nous arrivâmes vers midi. Aussitôt notre mère nous appela pour le repas. J'aimait bien quand on part de ville en ville car, à ce moment, là, notre mère n'avait pas le temps de préparer le repas et nous mangions sandwich- chips.
Le lendemain, je me reveillait tôt car, nous venions de finir notre tournée annuelle.Nous devions préparer un nouveau numéro. Mon père était dompteur de fauves, ma mère était trapéziste. Mon frère aîné, Léonard, quatorze ans, dressait des chats. Oui oui, des chats. Il y en avait trois, deux adultes et un chaton d'a peine trois mois que mon frère devait tester ce jour là. Mon petit frère, Gabriel dit Gaby, 7 ans, il était trop petit pour faire un numéro et il vendait des flambeaux au clients. Et moi eh bien, aujourd'hui, je devais choisir ce que je voulais faire comme metier dans ce cirque. Ici, c'est comme ça, on commence à partir de huit ans à s'entrainer dans toutes les disciplines, et puis, à onze ans, on chpisi ce que l'on veut faire et l'on se prépare pour la prochaine représentation. On n'a que deux moi. C'est un cirque un peu spécial je dois dire.Gaby est allergique aux poils d'animaux et mes parents son furieux. Ils ne veulent pas le garder. Ils sont sans coeur, sans pitié. Par exemple, un fauve refusait de monter sur un tabouret. Alors, vous savez ce que mon père à fait ? Il a fouetté le fauve qui était allongé par terre, fort, pendant un bon quart d'heure, jusque au sang. Eh bien ce fauve, il est mort maintenant. Alors que mon petit frère pleurait et que j'était en colère, mes parents nous ont dit :
-Eh ho ! On est là pour bosser !il n'avait cas se lever ce tigre ! Au cirque, on ne s'amadoue pas sur le sort d'un animal !
GRRRR On était FUR-IEUX. Bref. Moi, j'avais déjà choisit. Je voulais monter un des chevaux du cirque. Mon père répliqua, etonné :
-Mais, il y a déjà un numéro avec les chevaux.
-Eh bien, j'en créerais un avec un seul cheval !
Là, mon père fut époustouflé. Pas sur que je puisse gérer un cheval toute seul cependant... Bah, on verrait bien. De son côté, Marie, ma mailleure amie, ma seule amie des mon âge dans ce cirque, devait choisir, elle aussi. Elle opta pour le numéro avec les éléphants, l'ancien dompteur venait de prendre sa retraite. En plus, d'elle mes, autres amis sont : rachelle, 7 ans, Michaël 14 ans, Inès, 15 ans. Nous formions une bande, tous les six, avec Gaby.
Les semaines et les mois pâssèrent vite. Bientôt, vint le soir où je retournait dans la campagne, je venais d'avoir douze ans. Pendfnt cette année, j'avais appris à faire cabrer mon cheval, à le faire ruer tout en restant en selle. Mon frère avait raté TOUS ses numéros, à cause du chaton qui faisait ni'mporte quoi. Comme il menaçait de le tuer, je le prit mais mes parents rétorquèrent que je n'avait aucun droit sur lui. Je ne voulait pas qu'il meure, moi ce chaton. Mais pour mon anniversaire, je l'eut. Heureuse, j'était heureuse. Ce soir là, c'était la dernière représentation de l'année. Après avoir discuté avec mes amis de cette ville, je rentrais au chapiteau et mangeais en vitesse, où plutôt, ne mangeais pas car j'avais l'estomac noué. Je ressorti pour prendre l'air quand j'entendis les applaudissements : le spectacle allait commencer.Je me glissait dans les coulisses et regardait les numéros que je ne connaissait pas par coeur. Bah oui, je n'assistais pas aux répétitition ni aux spectacles si ce n'est que le dernier de l'année alors...
En premier, passa Lucas, pevensass, un petit maigrichon, trente ans, qui faisait du diabolo. Puis, en second, Léonard, mon frère. Il rata son numéro. Je ris sans faire de bruit, bien joué noisette. Noisette, c'était mon chaton, il était blanc, parsemé de patites taches rousses. Ma mère, qui passait juste après Léonard me lança une gifle que je ne suis pas prête d'oublier. Evidemment, elle préfère mon grand frère car "il fait l'honneur de la famille" comme elle dit. Du n'importe quoi ! Quelqun qui rate tous ses numéros fait l'honneur de la famille ? Laissez moi rire. A la mi-temps, on installa les cages des fauves.Le numéro a failli tourner mal car une lionne avait escaladé le grillage et a failli sortir. Après, tout s'est déroulé dans le calme. Les élephant ont parfait leur numéro d'une pirouette imprévue ce qui à fait tomber Michaël et Marier mais ils ont réussi à faire passer cela comme si c'était fait exprès,, en faisant une galipette dans les airs. Mais je crois que le poignet de Marie était foulé...
Dernier numéro. Clou du spectacle : moi. Je gémissait, je racontait que j'avait mal au ventre... rien n'y faisait. Mes parents me firent monter sur Casper, mon beau cheval couleur Alezan crin lavés. Il me semblait à deux mètres plus haut que d'habitude. Je le confiait à Inès :
-C'est le trac, souffle un bon coup OK ?
Souffle un bon coup, facile à dire, je n'arrive plus à respirer.
-CA SUFFIT ! ECOUTE MOI !
Cela m'a tellement surprise que je recommençai à respirer et, d'un coup, je compris : c'était pour que je retrouve mon souffle qu'elle avait hurler. C'était vraiment une amie. Des applaudissements. C'était à moi. Je serrai les rennes et murmurai :
-Aller Casper !
Et le cheval s'élança. Un parcour de saut d'obstacle avait été installé. Il les sauta tous, sans exeptions. Le dernier était si haut et j'avait si peur. Mais Casper, malgré qu'il ait sentit ma peur, s'élança. Et moi, Alix, j'eut l'impression de m'envoler. C'était commùe dans un rêve. Et puis, je réussi à le faire se cabrer, le faire marcher debout, en restant toujours en selle. Pui, il reposa les pattes, et rua. Dernière étape, aller m'accrocher au trapèze, qui était bas, il devait se mettre à galoper et je devait lui retomber dessus, prendre les rennes, l'arrêter, monter debout dessus, saluer et regagner les coulisses. Facile ? Non, trés, trop difficile. Mais je réussis à attraper le trapèze. Casper se mit au trot au lieu du galopmais, ça, les spectateurs ne pouvaient PAS savoir. ET j'atteris à côté. Tans pis, je remontait dessus, lê stoppais, montais debout, saluais et regagnais les coulisses. J'avais réussis mon premier numéro. Premier car , comme je venais de débuiter, je ne opassais qu'en fin d'année. Je me jetais dans les bras de ma mère. Elle me dit que maintebnant, c'téiazt moi quii faisait l'honneur de la famille. J'était heureuse.