Originality Is... ORIGINAL!

Nom d'Auteur : Originality
Age : 13 ans et 9 mois (14 quoi!)
Niveau estimé : Bon, mais nul en orthographe! (Bouhou! U.u)
Où as-tu connu Encre du Coeur ? Grâce à Lucile (Zeus! Miicii à toi!)

Bienvenue !!!

+ 2 point pour Heaven hell ^^

Marre ! Marre de la société ! Non non, ceci n’est pas une nouvelle politico social ! Non c’est juste ma vie, enfin une vie, si on peut appeler cela ainsi ! Je me présente, Mélina Martin Fernandez Alvarez Victorine, première du nom ! Bientôt 14 ans et déjà marre des gens ! Oui faut dire que dans mon quartier, les gens ne sont pas des lumières. Le peuple à toujours faim d’aventure, ils se disent qu’ils ne sont que des ados, que rien ne pourras leurs arriver ! Mais de l’autre côté, le peuple veut changer le régime… Faut savoir ! Ils veulent de l’aventure, mais se plaignent une fois les problèmes arriver ! Comme disent les inconnus, le peuple il a faim et il veut changer le régime ?! N’importe quoi…
Enfin, je ne suis pas assez âgé pour parler du monde entier, mais assez pour vous parler du collège ! Vraiment horrible ! Cette endroit est mal famé je vous assure ! Cet étrange lieu ou se réunissent chaque jours, des centaines d’adolescent boutonneux, les hormones en pleine rébellions… Mon dieu si vous saviez !
En faites, on pourrait comparer le collège à une jungle… On pourrait croire que le lion de cette jungle c’est la principale : Une vraie tigresse ! A nous rappeler sans cesse à l’ordre … Et bien non. Il ne s’agit que du CPE, un CPE compétant, mais souvent sur le dos de ses élèves. Ce qui à le dont de les enquiquiner quelques peu. Les singes pleins de sagesses de cette jungle sont incarnés par les surveillants… Mais pour moi toute cette jungle est un peu trop… PLEINE !!!
Il y à trop de gens ! Ils sont tous heureux de se rendre dans ce taudis ! Je peut très bien vous montrez ce qu’est un matin avant de se rendre au collège… A ma façon…

* * *

Hum… Enfin dans mon élément… Un rêve comme je les aime…
Je rêve souvent de trucs comme ça… Un rêve dont je suis la vedette bien sur ! Souvent similaire à un roman d’amour et d’aventure ! Les rencontres insolites, les aventures tortueuses bref, un vrai film construit de toute pièce.

« Mélina, debout ! »

Hein ? Il est 6h58… Pas 7h00 ! 6h58 ! J’aurais pu dormir 2 minutes de plus ! J’ouvre les yeux et j’aperçois m’a mère, à la porte de ma chambre les mains sur les hanches, en train de me fixer… Quand à mon chat, elle essaye de grimper sur mon étagère, mais sans succès… Oui j’ai oublié de vous dire :
Mes parents on divorcés quand j’avais 9 ans, depuis, je n’est revu mon père que pendant un lapse de temps très court. Mon frère également vie à ses côtés, dans leurs univers bourré de drogue et d’instabilité. Enfin passons. Du coup, ma mère, mon chat nommé Niña et moi, vivons dans le seul appartement que j’ai connu, celui ou j’ai grandi.
Après une séance de baillage et d’étirage, j’enfile rapidement mes vêtements. Avant de partir, après avoir fait ma toilette, je m’observe…
En faites, je suis n’y grosse n’y maigre, on va dire que je suis juste une fille qui n’aime pas le sport voilà tout. Mes cheveux d’un marron très clair sont rassemblés dans une pince, mes lunettes sur le nez qui font ressortir mes yeux verts kaki en amandes… Ah oui, je porte des lunettes seulement pour arrêté de voir flou, mais je pourrais très bien les laisser dans mon sac, un sac qui est d’ailleurs particulièrement lourd ! A vrais dire, on dirait que je part en vacances ! Je cherche mes clés pendant une bonne dizaine de minutes, si bien que j’arrive à l’arrêt de bus à point. Là bas je rencontre Zarah, ma meilleure amie depuis bientôt 9 ans. Je l’a connais par cœur, les gens se demandent même comment faisons nous pour nous entendre. Effectivement, nous avons des goûts très variés, voir opposés. A l’arrêt de bus, nous discutons de chose que nous seuls avons la possibilité de comprendre, si bien qu’il nous arrive de passer pour des folles. Mais je me suis fait à l’idée que j’étais belle et bien folle ! C’est vrais, est ce que une personne sain d’esprit aurait mis un jean large avec une longue robe cartoon ?
A bas la météo ! En plus, assise sur le banc avec Zarah, j’ai extrêmement froid à la cuisse, alors qu’il fait une chaleur épouvantable. Qu’elle idiote j’ai fait de me mettre de la crème à la menthe anti-cellulite ! Les pubs sont si mensongères !
Est-ce que vous pourriez m’expliquer une chose ?! Pourquoi dans les pubs pour les produits de beauté, les femmes sont aussi minces avant que après ?! Les publicistes on peut être eu peur de choquer le public avec une femme un peu ronde !

Le peuple est anti-ronde ! Je le suis moi-même, et j’ai remarqué que les hommes n’aimait pas les rondeurs t’en que ça ! Mais je ne me fait plus trop de soucis là-dessus, mes rondeurs sont là depuis que je suis petite, alors depuis le temps j’ai pus m’habituée !
Nous montons dans le bus, pour l’instant il est vide.
2^ème arrêt… 15 personnes de plus, 3 de moins… Bon, restons calme…
3^ème arrêt… 30 personnes montent, aucune de descend…

J’explose ! Trop de monde ! Trop de cris, trop de bâillements, trop de rires !
Zarah et moi, une fois descendu, nous nous plaignons pendant cinq bonnes minutes.
Puis, nous arrivons devant le collège. A 1 kilomètres à la ronde, on peut sentir le mélange de progestérone, d’oeustrogène et de testostérone qui s’accumule devant la grille du collège.
Les profs arrivent dans leurs Clio, leurs Peugeot, voiture aussi banal que le reste. En faites, le collège c’est un rassemblement de Monsieur et Madame « Tout le monde ! »

Les portes ouvrent enfin… Alors là ! On dirait le service de l’immigration ! Nouvelle règles depuis deux ans… « Montrer nous vos carnets ! »
Les grilles du collège c’est comme la douane ! Il ne manquerait plus qu’il nous fouille !
J’entre dans le collège, salut tout le monde en un braillement et quelques bises.

Nous commençons par français aujourd’hui, un cours super, un des seuls qui me donne envie d’aller en cours. Notre professeur s’appelle Mrs Da Silva. Une femme charmante, qui me rappelle un peu ma tante d’ailleurs ! C’est une femme qui doit avoir une trentaine d’année,
Les cheveux aussi châtain que les miens, lui tombant dans le dos. Comme ma mère, Mrs Da Silva met toujours ses lunettes sur la tête, en guise de serre tête, pour rassembler ses cheveux en arrière. Cette femme s’habille sobrement, toujours chic, comme je les aime, les célèbres capes comme je les appelle, ses espèces de long manteau qui tombent jusqu’au genoux. Bref, nous nous rendons en cours, d’ailleurs, en parlant de ma classe…

* * *

Ma classe comporte 26 élèves en tout… On ne se ressemble pas du tout.
Il y a les gars discret de la classe, que l’ont entend parlé juste quand on leur demande l’heure.
Les filles qui se croient un peu grande, qui rêve de se marier avec des footballeurs aux dents droites et blanches. Il y a aussi mes amies, enfin, des filles que j’ai trouvé à peu près stable pour supporter ma folie ! Et il y a le garçon… THE BOY ! Comme on dirait en anglais…
Anthony, le garçon le plus cool et le plus beau de la classe…
Sont seul défaut ? Se croit numéro 1 en tout ! Je le salut, d’un clin d’œil et me concentre sur le cours… Mais avec Anthony en face de soit, il se peut que l’ont est quelques secondes d’inattention… Effectivement, je suis peut être bizarre et original, remonter contre tous, mais je ne suis pas un robot, j’ai des sentiments, un peu fort même ! Effectivement, être amoureuse d’un garçon qui vous considère comme ça meilleure amie c’est un peu difficile. Mais passons, comme je le disais nôtre monsieur Anthony à dû mal à rester en situation plus de deux seconde ! Alors défois on me voit en cours, rire toutes seule… MAIS NON ! JE NE SUIS PAS FOLLE ! C’est à cause de lui là bas… Anthony Vanbunderen… Il me tire la langue et fait le clown à chaque fois que je le fixe ! Nous sommes un peu pareil, il est assez bizarre comme moi, et aime les mêmes choses que moi, à une exception…

« LA SOCIABILITE »

Après de multiple cours passionnant, nous arrivons enfin à ma matière préférée… LES MATHS ! Non c’était de l’humour, en faites, je déteste les maths ! Plus que tout !
Nous nous rendons donc dans la salle la plus haute pour couronner le tout !
Bien essoufflés, nous nous installons à notre place, devant le professeur à l’allure de truie.
C’est une femme assez forte. On pourrait la confondre à un bilboquet, vous savez, le jouet pour enfant qui bascule et retombe toujours sur lui-même. Et bien, ma prof de maths, c’est pareil ! Elle nous fait un cour passionnant sur les fabrications de bissectrices dans un triangle… Très intéressant…
Pendant une longue série d’exercice au tableau, je commence même à piquer du nez, les lunettes de travers. Je regarde Anthony, qui lui-même dort presque profondément. Je souris un peu bêtement, et me fait ramené sur Terre par la prof qui me hurle :

« Mélina, c’est pas le moment de rêvasser ! Au tableau !!! »

Et mince il fallait qu’elle me repère celle là ! Je soupire, me lève, et m’avance vers le tableau. Bizarrement, mes jambes ne coopèrent pas avec mon cerveau. Mon cerveau veut aller au tableau, mais pas le reste de mon corps. Si bien que j’ai l’impression que je vais reculer si ça continue ! Prions pour que je n’est pas l’air trop ridicule de dos. Je déteste entendre les chuchotements des autres me taper dans la nuque. Est-ce qu’ils parlent de moi ?! Je fixe la figure et essaye de me concentré… Punaise, ce que c’est facile. C’est juste que je suis atteinte de fainéantise aiguë ! Il me suffit de prendre l’équerre géante, et de tracer cette fichue bissectrice ! Je l’attrape du bout des doigts car elle se trouve en haut du meuble de la classe, et bien évidemment, je la fais tomber ! Comme c’est étonnant ! Je soupire, et la ramasse.
En me baissant, je vois que Anthony me regarde, enfin réveillé. Quand je croise sont regard, il me fait un clins d’œil. Je souris, ramasse l’équerre, souris sans raison à ma prof, et termine la figure sans difficulté. Ce simple clin d’œil a fait de lui ma motivation ! Je vais tout de même pas être amoureuse de mon meilleur ami ! Ce serait idiot ! Mais pas le temps de réfléchir à tout ça, j’ai d’autres soucis à me faire. Mais cette pensée n’arrive pas à quitter mon esprit.
Je secoua la tête discrètement, et regarda la prof en attendant son verdict…
Elle me lança un regard noir, et marmonna :

« Bien va t’asseoir… »

YES ! Je souris de plus belle et me rassis.
A la fin du cour, c’est l’heure du déjeuner… ENFIN ! Mon ventre faisait un tel bruit que l’ont pourrait croire à une catastrophe naturelle !!! Je me rends au self avec Zarah. Là bas, de somptueux repas nous attendent, près à nous remplir l’estomac… Enfin à nous donner des crampes d’estomac plutôt ! La nourriture est le plus souvent surgelée, ou en boîte. Je me demandait, devons nous porter plainte contre cette mal bouffe, ou manger chez nous ?
Pas le choix quand on habite à 10 minutes de bus. C’est la cantine ou le ventre vide.
Aujourd’hui, c’est paupiette de saumon et sa farce mystère, avec son riz frit. Le riz est tellement frit qu’on à l’impression de boire de l’huile, et la farce mystère c’est… Tout un mystère en soit ! Bref, le plat est immangeable, nous nous rabattons donc sur le désert qui avec chance est une île flottante. Une fois le ventre remplis, et sortit du self, nous nous trouvons dehors. Le soleil tape si fort que les cheveux de Zarah qui sont d’un brun/noir, sont pratiquement en train de bronzé ! Nous essayons de trouver un coin a l’ombre, qui par malchance est déjà occuper par une bande de petit première année, qui saute partout et s’amuse à faire le poirier contre les rondins de bois. Nous nous installons donc vers le sous préau, ou les fientes de pigeons nous guètes… Tout en discutant, Zarah me parle d’un sujet qui fait le sujet de conversation de beaucoup ses temps ci :

« A ton avis, qui a allumé les alarmes à incendie ?
_ Je n’en sais rien… En tout cas, la plaisanterie est de mauvais goût ! C’était drôle au début mais là… !
_Oui, mais c’est toujours utile d’avoir l’alarme qui sonne en plein cours de maths ! »

Nous pouffons de rire toutes les deux, puis une pensée me vient à l’esprit :

« A ton avis, que risque l’auteur de ses… « Crimes », ce sera sûrement marqué dans son dossier scolaire peut être ?!
_Moi je penserais pour une exclusion définitive du bahut ! »

Je déglutis bruyamment ! Le pauvre dire que moi je tremble de peur rien qu’à l’idée d’avoir une heure de colle alors être exclue… J’imagine la tête de ma mère !
Moi toute petite, dans le pyjama des Daltons, en train de clamer mon innocence, et ma mère qui sort le fouet… Tout ça me donne une crise de fou rire !

* * *

Tout ça me fait penser qu’il est bientôt 14h, et que je dois me rendre à mon cours de physique en demie groupe. Je salue Zarah à la va vite, et cours vers les escaliers. Je me rattrapai de justesse dans les escaliers… Une marche m’avait échappé. Peur d’arriver en retard, je cours à toute allures dans le couloir. Puis j’aperçois Anthony, qui à l’air tout aussi presser que moi. Par chance, nous sommes dans le même groupe, alors, je cours de plus belle pour le rattraper.
Malheureusement, le sol est glissant, et je crois qu’il va se produire une faute irréparable…

« Eh Mélina ! Grouille ! Tout les cours on commencer ! »

Je glisse tout le long du couloir, et failli tomber sur Anthony, se dernier me rattrape (ce qui ne servit strictement à rien), mais par m’égard, nous appuyons sur l’interrupteur rouge ! L’interrupteur de l’alarme à incendie ! Personne dans les couloirs, juste moi, sur Anthony, tout deux au sol, et l’alarme à incendie qui hurle de tout côté du collège… Nous voilà tout deux dans un sacré pétrin ! Je regarde Anthony, quand je m’aperçois tout juste que je suis sur lui… Quelle situation gênante ! Je me relève, donne ma main à Anthony pour qu’il se relève.
Mais une fois le duo d’enfer remis sur pied, nous nous trouvons face au CPE, la face violacée par la colère…

« J’ai enfin les coupables ! Dans le bureau de la directrice vous deux… TOUT DE SUITE !
_ Mais monsieur ! C’est pas juste, on est juste tomber ! On y est pour rien c’était un accident !
_ Ne me raconter pas de bêtise Monsieur Vanbunderen ! TOUT LES DEUX CHEZ LA PRINCIPALE ! »

Anthony me lance un regard d’excuse, et nous nous dirigeons tout deux vers le bureau de la directrice.

Au bureau de la directrice, nous attendons tout deux qu’elle nous reçoit.
Assis sur le fauteuil, la tête baissée, mes jambes se balançant de haut en bas, j’entend la voix de Anthony, assit à côté de moi, qui brise le silence.

« Je suis désolé, c’est ma faute pas vrais ? »

Je relève la tête et sourit. Pourquoi ça serait de sa faute, c’est moi qui est fais l’imbécile en voulant la jouer « CatWoman » ! Puis, je pense à ce que va dire ma mère à l’annonce de mon renvois ! La panique commence à monter en moi. Je regarde Anthony dans les yeux, mais j’ai du mal à soutenir son regard. Parce qu’il est tellement à l’aise avec les gens, qui n’a pas la frousse de les fixer comme ça, ses yeux marrons perçant mon regard ! Je rebaisse la tête, et dit :

« J’ai un peu peur, pas toi ? »

Bizarrement, je vois le jeune et brave garçon qui n’a peur de rien, baisser la tête lui aussi, et dire :

« Si… Beaucoup même… »

Nous restons encore cinq bonnes minutes dans le silence, quand vice principal arrive à grand pas, deux dossiers à la main. Elle ouvrit la porte d’a côté du bureau de la directrice, et dit avec une froideur telle, qu’il est impossible de décrypté son humeur :

« Entrer. »

Nous entrons l’un derrière l’autre, puis après l’autorisation de Mrs Harel, nous nous asseyons. Mrs Harel, la principal adjointe, est une femme d’une cinquantaine d’année, qui avait gardé une certaine fraîcheur. Elle à des lunettes en demie lune sur le bout du nez, de long cheveux marron et ondulés lâché jusqu’aux épaules, et porte un tailleur très stricte.

« Avant même de vous expliquez, je vous le dit d’office : J’ai consulter vos dossier scolaire depuis la primaire. Ils sont impeccables, bien que Mr Vanbunderen, vous ayez déjà connus les heures de colle. Mais cela est sans importances, ce que je ne comprends pas c’est comment vous, des élèves aussi basic, aussi… Respectueux, est pus faire une chose pareille ?! Répondez. »

Un petit silence d’une trentaine de secondes s’installe. La pression est trop lourde, et je commence à avoir mal à la tête. Je jette un coup d’œil à Anthony qui à l’air tétanisé, lui pourtant si a l’aise avec les adultes. Je me lève et prends donc la parole :

* * *

« Madame, je peut vous expliquez ce qui c’est passé :
Nous étions vraiment en retard à nôtre cours de Sciences Physique, enfin, je croyais être la seule, alors j’ai courut dans les couloirs pour essayer de ne pas être en retard. Puis j’ai croisé Anthony, qui était à l’autre bout du couloir. Il a attendu que j’arrive vers lui pour qu’on continue le chemin ensemble, j’ai donc glisser sur le sol et je n’est malheureusement pas réussi à freiner, je suis donc tomber sur Anthony, celui-ci à essayer temps bien que mal de me rattraper, alors au moment de basculer, on à voulut se rattraper, et dans la chute, l’un de nous à heurter le bouton de l’alarme, ce n’est qu’un accident ! Pas vrais Anthony ? »

Anthony se contenta de hocher la tête. On aurait dit qu’il était au bord de la nausée.
Je me rassis timidement, le rouge me montant aux joues. Je sentais la chaleur et la panique, m’envelopper tout le corps, si bien que même mes vêtements semblaient mouettent.
Madame Harel se leva, et dit :

« En attendant d’avoir la certitude de toute cette histoire, je me vois dans l’obligation de vous infligez une punition. Ce soir, j’appellerais vos parents, et tout les deux, après demain soir, vous resterais avec l’homme à tout faire du collège Mr Franc pour nettoyer un peu le collège. Ce sera tout, maintenant disposer. »

Nous nous levâmes, et quittons la pièce ensemble.
Je regardais Anthony en souriant, et dit avant que nous rentrions tout les deux chez nous :

« Tu sais c’est qui Franc ?
_Ouais, le gars qui répare tout !
_Ouais, mais tu sais comment je l’appelle moi ?
_Non… »

Je lève la plante des pieds et lui dit à l’oreille :

« Luigi ! »

Nous rigolons discrètement tout deux, et rentrons chez nous, un peu soulagé de cette sentence peu onéreuse.

J-1 avant la punition du siècle… Grosse… ENORME pression !
En faites, quand ma mère avait reçu le coup de fils du collège, elle a plutôt bien réagi… Après avoir raccrocher, elle a entamé une discussion. Elle me croyait elle au moins ! Une simple petite glissade dans un escalier, et vous voilà condamnez à une sentence atroce.
Assise sur le canapé, je la regardais avec des yeux de merlan frit, peur de sa réaction.
Quand à maman, elle c’est préparer une cigarette, l’a allumer tranquillement, puis, après avoir ouvert le hublot du salon et s’être installer sur le sofa, elle m’a dit :

« C’est vrais que c’est toi qui a fait sonner l’alarme ? »

Je l’est regardé bouche bée, et dit :

« Non, je t’est déjà expliquer ce qui c’est passé, je suis juste tomber avec Anthony, et puis elle c’est déclenché par mégarde !
_ Ah… Tu veux que je te fasse un mot pour la punition, parce que ça fait quand même tard de rentrer à 8h du soir…
_ Tu viendras me chercher ? »

Elle hocha la tête. Il était hors de question de me défiler, et puis, vu ma routine barbante, une petite soirée au collège avec Anthony ce serait parfais ! C’était comme dans un film ! Il ne manquait plus qu’une caméra et un gars hurler :

« ACTION ! »

Le soir, j’allais m’endormir avec une petite crispation au ventre, mais excité de savoir ce qui allait ce passé demain…
Le lendemain, en cours, avec Anthony, on avait parler à personne de ce qu’il allait ce passé se soir, de peur de se faire réprimander… Quand je l’est croisé dans un couloir, je l’est entendu avec un de ses amis, discuter… Un peu plus, il allait vendre la mèche !

« Alors Anthony, tu viens ou pas regarder le match se soir chez moi ? Ma mère à commander des pizzas ! »

Anthony me vit, et fit la grimace. Derrière son ami, je secouais les mains comme une folle, si bien que un groupe de fille éclatèrent de rire en me voyant. Son ami se retourna, et me vit secouer les mains. Il arqua un sourcil, haussa les épaules et dit :

« Tu la connais ? »

Anthony sourit et dit :

« Rien c’est une petite blague entre elle et moi ! »

Il leva un pouce en ma direction, et poursuivit :

« Je peut pas venir ce soir, désolé ! »

Le copain ouvra la bouche tellement grande que j’avais peur qu’il avale une mouche. Il secoua la tête, mit une main sur l’épaule d’Anthony et lui dit :

« Mec, tu peut pas venir ?! Tu te fou de moi ou quoi ? C’est une blague c’est ça ?
_Non j’ai un autre truc de prévu !
_ A ouais ?! Et quoi de mieux que le foot ?
_Euh… J’ai euh… »

Il se bloqua, et regarda dans ma direction en me lançant un regard implorant… Une idée… Il me fallait une idée… Mais OUI ! Heureusement que le ridicule ne tue pas sans ça je serais morte depuis longtemps ! Je m’avança vers Anthony et lui dit d’une voix basse, mais assez haute pour que son ami l’entende :

« T’oublie pas ce soir le resto ok ?
_... Euh oui ! OUI ! Ne t’inquiète pas ! »

Je lui fit un petit clin d’œil, et m’éloigna.

Une fois son ami hors de vue, Anthony s’approcha de moi, me fit une grosse bise… Je sentais le rouge me monter aux joues rapidement, je secoua la tête, et dit :

« A bon ?!
_ T’es vraiment cool ! Tu m’as sauvé la mise ! Si jamais je lui aurait dit que je devais rester si tard au collège, il m’aurait s’en doute vanner jusqu'à la fin de l’année !
_ Par contre désolé c’est le seul truc qui m’est venu à l’esprit le coup du resto !
_T’inquiète c’était cool ! Bon à se soir ! »

Ouah ! Il m’a fait une bise ?! Je rêve ou quoi ??? Bon… Fallait pas que je m’emballe, parce que ce n’était qu’une malheureuse bise ! Je m’empressais d’aller dans la cour, pour rejoindre Zarah et les autres.

* * *

Fin de la journée, et début de la soirée pour nous…
Le CPE nous avait convoqué dans son bureau. En entrant, nous vîmes un grand homme maigre, habiller d’une salopette et d’un sous pull vert, son visage armé d’une grande moustache… Je donnai un coup de coude à Anthony, et ce dernier sourit. Nous nous posons nos sacs dans le bureau du CPE à l’allure de Lego, quand ce dernier nous regarda, les sourcils froncer.

« Bon, ce soir, vous vous occuperaient du collège avec Franc, nôtre homme de main.
Et nous traiterons vôtre cas lors du conseille de classe. Franc, je vous les laisse. Bonsoir ! »

Franc nous souri. Il avait l’air d’un gentil gaillard, le genre à faire profiter ses talents à un malheureux collège.

« Alors les mômes, c’est vraiment vous qui avez allumer ses alarmes ? »

Anthony lui rendit son sourire en même temps que moi, et dit :

« Non m’sieu, c’était qu’un accident !
_ Ah d’accord, bon, on va commencer pas les salles de permanence, vous aller nettoyer avec de l’eau de javel, les traces de stylo que vos amis on laissé dans la journée. Tenez ! »

Il nous remit des éponges et une bouteille d’eau de javel.
Je me rendais donc à la salle n°1, ou nous commencions à récurez.

« Je plains les femmes de ménages vraiment ! A quoi cela sert il de nettoyer les tables si demain, tout ses adolescents stupides et boutonneux vont continuez à mettre des saletés ! »

Je parlais toutes seule en récurant la salle, pendant que Anthony s’occupait de celle d’à côté. Ce dernier m’avait entendu, et était à la porte de la permanence, l’éponge à la main, avec un sourire.

« Ca se voit que t’a un problème avec les gens toi ! »

Je tentai de le regarder dans les yeux, mais je baissai vite mon regard. Je m’assis sur une des tables, et dit :

« Non, c’est que les ados sont stupides !
_ Je te signale que tu en es une, et moi aussi !
_ Oui mais toi tu n’es pas stupide.
_ … Toi non plus ! »

Je me remis donc à rougir… Mais c’est pas vrai ! Je suis pire qu’une bombe moi ! J’explose dès qu’on me touche !
Je lui fit un petit sourire et me remis à récurez les tables.

* * *

Une heure plus tard… Je suis exténuée !
Anthony quand a lui joue une fois de plus les supers héros. Il paraît en super forme !
Je suis affalée sur une des tables du réfectoire qui à son tour était passé au peigne fin…
Je n’en peux plus ! Je ne verrais plus jamais une table sous le même angle…
Anthony vint me rejoindre, sourit, s’assit sur la table et dit :

« Fatigué ?
_Non tu crois ? »

Puis il éclate de rire. Franc dit « Luigi » arrive. Il donne à Anthony une caisse à outils et dit :

« Bon les enfants, je dois rentrer chez moi pour régler une affaire importante, alors, vous aller descendre dans les sous sols, en passant par derrière, et vous aller rebouché avec cette pattes une tuyauterie qui à sauter. Ok ? »

Anthony et moi marmonnons une chose qui semble être un « oui ».
Mais après que Luigi soit parti, je me fige de terreur… Qui dit sous sols dits bestioles… Comme des araignées ?! Oh non… Depuis toute petite je haies les araignées ! Ses affreuses petites bêtes poilues et pas aimable du tout… Eurk !

Nous nous aventurons donc dans les sous sols, avec une lampe quelques peut défectueuse. Anthony se baisse dans la caisse à outils et sort une ampoule neuve dans son emballage. Il sourit et dit :

« On pourrait en profiter pour la changer… »

Pas besoin d’échelle, Anthony est si grand qu’il n’a qu’à se mettre sur la plante des pieds pour changer l’ampoule. Je coupe le courrant, sort une lampe torche, et éclaire Anthony le temps que nôtre super héros change l’ampoule…

Punaiise, plus jamais,ça, j'ai mal aux yeux force de liire xDD!!!

Hmm...

Joli texte, pas trop captivant je trouve...

Pas mal de fautes, relis-toi !!!

j'ai peur que ceci ne te pose probleme...

J'hésite fortement entre Elite et Pro...

Normal, le texte forme un bouquin! Tu n'a lu que le débu xD
Donc pour les fautes! Je te promet rien! Mais bon je vais essayer... Je ne serais pas contre Pro xD Mais comme on dit c'est pas la longueur qui compte!

Si c'est un livre, il y a beaucoup trop de dialogues !! Notamment dans la 3° partie. Mais c'est bien quand même xD ^^

Jadambre, je te laisse trancher Wink

Voilà la suite qui forme vraiment l'histoire si tu veux!

« AAAAH ! »

Je hurle ! Oui j’ai de bonne raison de hurler ainsi !!! Je pointe mon doigt vers le mur pour montrer à Anthony. Se dernier va rallumer le courant et regarde. Bizarrement lui aussi recule. A côté se trouvait une pile de journaux. Anthony prit le premier et écrasa l’araignée !
Aux lieux de paraître effrayée comme je l’était quelques secondes avant, j’étais face au soit disant super man, un grand sourire aux lèvres.

« Alors comme ça le super héros à des faiblesses ?
_Oui et alors ?! »

Je souris, et lui fit une bise sur la joue.

« Merci super man ! »

Avant de nous engouffrer dans les escaliers menant à la tuyauterie, je prit le journal qui avait servit à écraser l’araignée, l’enroula et dit :

« Je le garde, on sais jamais ! »

Anthony souri. Hein ?! J’aurais parier qu’il avait rougit ! Il a rougi ! Je ricana, et prit le chemin qui menait à la tuyauterie, Anthony sur mes talons.

* * *

En arrivant dans le sous sols, il y avait de la fumée qui s’échappait d’un tuyau qu’il y avait au fond. Anthony et moi plissons les yeux, car la fumée formait un brouillard épais, un brouillard verdâtre comme teinté par les tuyaux du même vert qui nous entourait.
En marchant, en quelques secondes, je sentis un coup de vent nous passer dans le dos.
Je fit volte face, et me bouscula contre Anthony. Quelle idiote ! Je sourit maladroitement, et continua de marcher.
Une fois arriver là ou provenait la fumer, Anthony proposa :

« Va voir si la fuite viens de l’extrémité à gauche, et moi je vais voir à droite ! Ok ? »

J’approuvai d’un signe de tête, et j’allai vers la gauche. Pas de fuite par ici… La fumée me donnait mal aux yeux. Je sortis mes lunettes de ma poche, et les mis sur le nez. Ouf ! Ca va mieux… Soudain, j’entendis un cri grave, la voix d’Anthony… Je courus à toute allure, respirant la fumée, vers Anthony. Je le vis à terre, contre le mur, la patte à reboucher les tuyaux dans la main… Je m’agenouilla à côté de lui, et dit :

« Ca va ? »

Il pointât son doigt vers le mur donc évidemment je regardai dans sa direction…

* * *

Une espèce de garçon, typé, comme un espagnol, d’une dizaine d’année, habillé dans une tenue assez vieillotte, genre 1950-1960. Il avait les cheveux en bataille, et une étrange tache sur la joue, comme une trace de rouge à lèvre. Le garçon était transparent, blanchâtre… On aurait dit une espèce de Casper, à l’allure plus… Humaine. Ses chaussures était bien brillante, lacet parfaitement nouer… Il avait de grands yeux translucides, qui nous fixaient. J’aidai Anthony à se relever… Je n’osais même pas parler… Et Anthony était encore moins décider que moi. Je me tenais toujours à Anthony. Ma main collée à son bras. Je n’étais décidément pas prête à le lâcher… Le garçon sourit, et s’approcha de nous. Evidamment, étant collés au mur, nous ne pouvions pas reculer d’avantage. J’avais tellement peur… Le fantôme… Enfin le garçon… Je ne peux vraiment pas bouger. Car comme je le disais, ce dernier nous fixait, tout en souriant… Qu’il arrête ! Qu’il arrête pitié pourquoi est ce qu’il sourit ?! Est-ce qu’on va finir comme dans un de ses films, où un mystérieux fantôme tue des dizaines d’élèves innocent. Un genre de « Bloody Mary » ? Les histoires de fantôme m’on toujours intéresser, mais seulement quand je les savaient fictives… Le fantôme s’approcha de nous, si bien qu’il était à deux centimètres de mon visage… Mais qu’est ce qu’il veut ?! Je glissa ma main vers mon coup, et sortit ma croix. C’est la croix de batptème qui appartenait à mon père. Depuis que je l’est trouvé je ne l’enlève jamais.
Je la mis en évidence et regarda le fantôme dans les yeux. Ce dernier regarda la croix, regarda Anthony, puis moi. Il mis sa main près de mon coup… Je ne sentais qu’un coup de vent me monter jusqu’à la nuque. Anthony continuait de le regarder. Ce dernier prit la parole en premier :

« C’est toi qui était derrière nous tout à l’heure ? »

Vous vous souvenez ? Quand j’ai sentit un coup de vent et que j’avais fait volte face directement sur Anthony… C’était peut être lui effectivement ! Le fantôme cessa de regarder mon pendentif, et se tourna vers Anthony. Il effaça son sourire, regarda Anthony, en levant la tête tellement il était grand. Puis, une voix légèrement en écho s’éleva dans la tuyauterie. Le Fantôme dit :

« Pardon ?
_ C’est toi qui nous suivais tout à l’heure ? »

Cette fois ce n’était pas Anthony, mais moi, qui avais parlé. Je m’avançais vers le fantôme. Soyons logique… S’il souriait, c’est qu’il était inoffensif non ? Anthony me prit la main pour m’empêcher d’avancer vers lui, mais je me dégageais d’un petit coup de coude. Je continuais de m’avancer vers lui.
Lui qui était si près de moi, reculait à chaque un de mes pas. Je mis ma main droite à travers lui… AH ! Elle l’a traversée ! Ma main avait traversée le corps du fantôme !
Je m’arrêta devant lui, et dit :

« Mais… Qui es tu ? Casper ? »

Le fantôme me regarda et souri.

« C’est quoi Casper ? »

Bizarrement, ce petit paraissait complètement inoffensif. Le fantôme regarda Anthony, puis me fixa avant de poursuivre :

« Je m’appelle Max. Et vous ?
_ Moi c’est Anthony, et voici Mélina… Mais… Les fantômes, ça n’existe pas !
_ La preuve tu en à un devant toi Antho ! »

Je souris à Anthony, mais regarda derrière Max… Enfin à travers Max plutôt !
J’entendais un étrange cri, que je ne pourrais même pas qualifié de cri.
C’était plutôt un gémissement… Anthony se mis devant moi et dit à Max :

« C’est quoi ce truc ?
_ Chimères…
_ J’ai pas éternuer !
_ J’ai pas dit A tes souhaits mais Chimères ! »

Il est mignon mais qu’est ce qu’il manque d’imagination. Je me glissa entre Max et Anthony, pointa du doigt l’endroit ou provenait le bruit.

« Des Chimères ? C’est pas une créature mythique ou quoi ?
_ Mais Blédii, ça existe pas les fantômes et tout ! »

Blédii, c’est moi. Depuis petites, mon grand frère et ses copains formaient une énorme bande de potes. Moi… J’étais leurs mascottes. Alors ils m’appelaient Blédii ! Et depuis, au file du temps, tout le monde c’est mis à m’appeler comme ça. On continuait d’entendre les gémissements provenir du fond. Je commençais donc à m’avancer dans la direction du bruit. Non je suis pas folle, je veux juste voir ce que sais. Anthony et Max crièrent tout deux en cœur :

« NON ! »

Je fit volte face, les regarda, et sourit. Les deux garçons, qui était si différent, (Bah oui quand même il sont même pas du même monde !) était devant moi. On se croirait vraiment dans un film de fiction.
Je m’avançai vers Casper euh… Pardon, Max et dit :

« Alors, qu’est ce que c’est que des chimères ? Ca à rien à voir avec la légende grec ? »

Max hocha la tête de droite à gauche, en signe de négation, et dit :

« Depuis un an il essaye de m’attirer vers eux… Il suffit de les ignorer ! »

Anthony fit les gros yeux et demanda :

« Attend un peu… Ca fait combien de temps que tu es ici ?
_ Euh … Je ne sais pas trop, on est en quelle année ?
_ 2008.
_ Ah… Euh bah … Ca fait exactement 50 ans… Oui c’est ça ! »

Ouah… 50 ans ! Ca en fait des anniversaires ratés ! Si je calculs bien… 50… Max était mort en 1958.
Mais soudain, je me souvins de quelque chose. Si Franc, l’homme de main connaissais les sous sols et la salle de la tuyauterie, comment ce fait il qu’il ne l’est pas aidé ?

« Et tu n’as jamais croisé personne ?
_Oh si, plein de monde, souvent, un homme à la moustache broussailleuse vient pour réparer des choses… Mais quand je lui parle, il ne me répond pas, il ne me vois pas je crois… »

Le pauvre… Rester si longtemps tout seul… Anthony riait… Pourquoi il rit celui là ? C’est pas le moment de rigoler ! Max le regarda, un sourcil en l’air.

« Qu’est ce qui à de si drôle ?!
_ Attend mon p’tit, tu me dit la que ça fait 50 ans que tu es ici, et personne ne t’a remarqué ? Pas même une araignée ?
_ Non…
_ Alors on est des privilégiés ! »

Max approuva d’un signe de tête. Seulement, soudain il prit une mine plus sinistre et dit :

« Est-ce que vous pouvez m’aidé ?
_ A quoi ?
_ Je ne sais plus comment je suis mort… Je sais tout de ma propre vie, mais les dernières heures avant ma mort, je ne m’en souviens plus, n’y pourquoi je aire ici depuis des années…
_ Oh… Cool ! »

Anthony semblait un peu plus intéressé qu’au par avant. Il commença à malaxer la patte pour les tuyaux. Il ne fallait pas oublier cette tâche qui à présent me paraissait stupide, sinon, Franc se poserait des questions… Je lui en prit un bout et commença à reboucher aussi la fuite. Max nous regardait bizarrement. Il baissa la tête, et dit :

« Vous ne voulez pas m’aider ?
_ Oh si si ! Il faut juste qu’on rebouche ça, sinon, nous risquons d’avoir des ennuis ! Encore plus que maintenant !
_ Ok… Mais comment s’y prendre ?
_ Bah raconte nous un peut ta vie ! Le genre d’élève que tu étais au collège, quel âge tu as… Enfin… Tu avais… Ok ? »

Max paraissait plus content de nôtre réponse. Il s’assit sur un tuyau, et dit :

« Bah j’ai 13 ans… Enfin je venais tout juste de les avoir… En 1958, je venais a peine d’arriver en France. En faites, je me souviens que mes parents, ma petite sœur et moi, venions du Mexique. Alors beaucoup se moquaient de moi et de mon accent… Alors on peut dire que j’aimerais passer 50 ans partout sauf au collège privé Arthur Rimbaud. »

J’explosais de rire. Max me plaisait bien, il n’aimait pas trop les adolescents… Un peu comme moi !
Anthony aussi souriait… Après avoir rebouché la fissure, quelque chose m’interpella.

« Tu as dit collège Privé ?
_ Oui ? Pourquoi ? Il ne l’est plus ?
_ Non ! Il est tout sauf Privé je peut te l’assurer ! »

C’est donc pour ça qu’il se faisait mal voir de ses camarades… Parce que les années 60 ne sont pas énormément vieillottes non plus ! J’imaginais un petit garçon, essayant de s’intégrer. Un cartable de cuir sur le dos, bousculer par des adolescents plus grands, leurs cartables étant nettement plus beau, plus impeccable que le sien. En cuir d’agneau, et cirer et lustrer comme il se doit… Je secouai la tête. Et mit ma main sur l’épaule de Max… Ma main passa à travers son épaule. Il me regarda avec un petit sourire, et dit :

« Merci… »

Max s’éloigna… Comme pour vérifier quelques choses. Pendant son absence, je ne cessais de regarder dans sa direction… Le pauvre me faisait tellement de peine… Anthony me regardait bizarrement… Comme si il admirait ma compassion. Ce qui m’énerve chez lui, c’est que quand il m’observe, c’est tout le temps dans les yeux. Son regard me perce. J’arquai un sourcil et dit :

« Quoi ?!
_ Rien… Rien du tout… Où est Max…
_ J’en sais rien… »

Max refit surface, et dit :

« J’ai repoussé encore un peu les chimères, elles ne cherchent qu’à m’emporter avec elles… J’ai jusqu’à se soir pour retrouver la mémoire… Sinon… Elles m’emporteront…
_ Tu as de la chance qu’on soit venu se soir…
_ Je pense que c’est le destin… »

Anthony lui fit un petit clin d’œil et remis la patte dans la boîte à outils. Il regarda la poche de mon jean, et dit :

« Tu as vraiment gardé ce journal.
_ Ah oui… D’ailleurs, qu’est ce qui est écrit dessus ??? »

C’était le journal qui avait servit à écraser l’araignée de tout à l’heure.

C'est bon comme ça ? xD

Ca change toujours pas qu'on attends Jadambre, désolée Wink

Je te souhaite la bienvenue dans notre confrérie lol !

J'ai pas dit Elite ou pro, il est intéressant son texte !!!
Jadambre tranchera.

Encrier : Désolée, mais pour les rangs, ton avis n'est pas demandé, même si tu as raison !

Oh dommage que tu aies vu, je me suis rendu compte de mon erreur ... je vais éditer mon message afin de ne pas avoir de pénalités ...

Bienvenue =D
Je dirais Elite, pour développer les phrases, mais tu passeras vite Pro !

Bienvenue chez les élites Wink

OOOUh! Merci!

*Bizou bizouzzzz*

Wink