GreenLeek.
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 |  Sujet: * G r e e n L e e k  Mer 1 Juil - 19:05 | |
| I. Administratif
PUF : GreenLeek.
Age : Je préfère que cela reste confidentiel.
Sexe : Féminin.
Comment avez-vous trouvé le forum ? Grâce à Zesty.
II. Moi
Auteurs Favoris : Robin Hobb - Tolkien - Pierre Bodereau - Anne Robillard - Erin Hunter.
Poètes Favoris : Baudelaire - Prévert.
Réalisateurs Favoris : Miyazaki.
Livres Favoris : Le Pacte des Marchombres - Les Chevaliers d'Emeraude - La Guerre des Clans - Le Seigneur des Anneaux - L'Assassin Royal.
Poèmes Favoris : Invitation au voyage - Tu seras un homme mon Fils.
Films Favoris : BittleJuice - 15 ans et demi - Shrek - Kingdom of Heaven.
Style de Forum : RPG.
III. Mes textes.
Auto-Evaluation : Mmh .. Je dirais moyen. Ce n'est pas du grand art, mais c'est correct.
Points Forts : Fluidité, longueur, contexte, tournure des phrases et orthographe.
Points Faibles : Ecriture active, inspiration, organisation.
Exemple de Texte :
Oh. Je met dans un prochain post, c'est trop long \o/ | |
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GreenLeek.
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| | Sujet: Re: * G r e e n L e e k Mer 1 Juil - 19:07 | |
| Exemple de texte :- Spoiler:
Fragrance Sauvage… ♫
« Partie I »
« Tu es seule dans la nuit la plus noire…Mais étrangement tu n’as pas peur… Une fragrance sauvage t’envahit et te pousse à faire preuve de témérité. Une chose inconnue te fais avancer de l’avant sous cette lune froide et pourtant si mystérieuse… Un parfum subtil qui t’envahit, plein de douceur et de sauvagerie mélangés. Quel est ce sentiment qui couve en ton cœur ? Du désir ? Mais ce désir, mon enfant, sais-tu au moins à qui est-il destiné ? Est-ce seulement une envie fluctuante qui fait des vas et viens ? Ou quelque chose de bien plus profond, qui est encré dans ton esprit et ton âme ? Tes instincts félins ressortiraient-ils de là où ils étaient enfouis depuis si longtemps ? Nuage du Papillon…Serais-tu entrain de devenir sauvage ? »
« Bouh. »
Papillon se réveilla en sursaut et aperçu avec stupeur une paire d’yeux vert émeraude à quelques centimètres à peine de son visage et un grand sourire malicieux. Pendant quelques secondes, elle contempla le regard sensuel de son ami ; mais bien vite, se repris. Ils n’étaient que des amis normaux comme tous les autres. Seulement quelques instants c’étaient écoulés entre son réveil et l’intrusion de son ami. Enfaite, ce n’était que quelques secondes. La jeune féline n’avait aucunes envies de repousser Nuage de Mélopée. Seule une envie de se blottir contre lui restait ; mais bien vite elle chassa cette idée qui c’était sournoisement insinuée dans son esprit. Elle prit une infime respiration avant de reprendre son simple rôle d’amie.
« Tu comptais faire quoi là ? Tu sais pourtant bien que ce genre de pensées est réservé aux adultes non mais ! Ah…La jeunesse de nos jours. Aucun respect pour ses aînés… »
Nuage de Mélopée haussa les sourcils et son sourire devint amusé. Cette fois ci il allait lui répondre vertement…
« Et c’est toi qui dis ça ?! Laisse-moi rire ! Réservé aux adultes ? Tu n’en es pourtant pas une que je sache… Et je suis plus âgé que toi d’abord. Alors n’inverse pas les rôles. »
Il la contempla un instant, regardant un instant l’air boudeur de son amie qui le faisait fondre avant de finir sa phrase, une touche de sarcasme dans la voix.
« Brave petite. »
Nuage de Mélopée savait fort bien que la petite chatte ne supportait pas qu’il l’appelle ainsi mais c’était plus fort que lui. Il était rare qu’elle sorte de ses gonds alors il en profitait. Cela faisait si longtemps qu’il aurait dû le lui dire… Cette pensée qui lui traversait parfois l’esprit et qu’il réfutait, prétendant le contraire. Mais maintenant, il était au pied du mur et ne pouvait plus nier. Papillon était la personne la plus importante au monde pour lui. Il l’aimait à un point tel qu’il serait prêt à mourir pour elle. Si la jeune féline le lui demandait, il trahirait son clan sans hésiter. Le jeune mâle avait une absolue confiance en elle. *Je crois que…*
[…]
Papillon était encore assise dans la tanière des apprentis, repensant encore à cet étrange rêve. Ce n’était pas une suite d’images comme tous ses autres rêves… C’était un tourbillon de sensations nouvelles ; Un mélange étonnant plein de passion, de désir…Tout cela enveloppé d’une fragrance sauvage. Le tout était un parfum attirant aux couleurs de l’aventure. Elle était attirée par ce rêve et voulait absolument le refaire. Alors, au mépris des consignes, elle se roula en boule sur sa couche encore chaude et se rendormie. Elle voulait refaire ce rêve. Il le fallait. *…Je t’aime.*
« Alors comme ça tu es revenue. Tu ne peux te passer de moi n’est-ce pas… Encore une fois tu veux que je t’enveloppe de sensations, que je t’enveloppe de tes propres rêves. Mais cette fois ci… Je te réserve une surprise. »
« Une fin pouvait-elle exister ?
Ou était-ce seulement une illusion, comme tant d’autres… ?
Le Bonheur existait-il vraiment en ce monde ?
Ou était-ce seulement une illusion, comme tant d’autres… ?
Tant de questions. Toutes sans réponse. Ou du moins aucunes n’était satisfaisante, n’étant qu’une élude à la véritable énigme. La vie n’était-elle donc qu’une suite continue d’interrogations ? En contemplant toutes ces personnes pleines de joie de vivre, de bonheur, croquant la vie à pleines dents, on ne peut que se sentir triste, rejeté. Car cela nous est inaccessible, tout simplement impossible à avoir. Et pourtant, à travers toutes ces épreuves, on continue notre vie, malgré tout. Elle est sans couleurs, sans aucunes évidences ni envies. Sèche et fade. Et pourtant elle s’égrène et ce n’est qu’à la toute fin, lorsque cette existence défile devant nos yeux pendant que la mort nous prend, on se rend compte qu’on l’a gâchée. Tout simplement. Et le goût amer de l’échouement nous prend à la gorge, avec une triste envie de pleurer toutes les larmes de son corps, en espérant ainsi être soulager, avoir sangloté tous nos malheurs… Mais au-delà des illusions, à travers les apparences, ce ne sont que des protections que nous nous sommes forgées, pour mieux supporter cette révélation. Et nous prions pour les vivants, pour que contrairement à nous, ils ne gâchent pas leur vie à se poser des questions…Sans réponses. Je ne suis qu’un pâle reflet de ce qui semblerait être la Liberté. Une illusion de cette joie sauvage et fraiche. Qu’aurais-je donné pour vivre ma vie comme une personne normale, sans se poser des questions auxquels je savais malgré tout qu’aucunes réponses n’existaient ? Peut être qui si je n’avais pas passé mon temps à me morfondre sur mon sort, si j’avais su être plus fort… Peut être qu’aujourd’hui, dans cette mort, je serais comblé. Peut être sourirais-je malgré ma vie qui m’a quittée en souhaitant du bonheur aux autres… Peut être.
Que puis-je dire, maintenant, mort comme je le suis ? Seulement me morfondre. Encore et encore. Est-ce l’ironie du sort ? Que je gâche ma vie à pleurer sur mon sort et que je gâche ma mort pour la même chose ? Peut être bien… Entre nous, j’en serais capable. C’est triste, néanmoins vrai. Et la vie continue comme si de rien n’était après ma mort, chacun de mes proches se remet au fil du temps de cette frêle blessure causée par ma mort. Ne suis-je donc qu’une ombre dans le passé ? Ma vie à donc été si… Ordinaire ? Est-ce donc possible de se sentir aussi inutile ? De savoir que nous n'avons aucunes prises sur les évènements du temps ? De découvrir que la vie suit son cours, malgré les multiples vies qui trépassent chaque jour ? Que malgré tout, chacun continue à vivre, et que le temps ne s'arrête pas pour une seule personne... Le jour où chacun découvre ceci, c'est un étrange mélange entre révolte, tristesse et répulsion. Et chaque jour qui suit ce jour, on se demande pourquoi, pourquoi est-ce que ce jour là, le monde ne c'est pas stoppé pour nous aussi... On pense que le temps adoucit les peines, qu’ils les allègent, mais non, au contraire... Ils les fixent, les graves dans le cœur et l'esprit, pour que ce soit comme un fardeau que chacun porte au plus profond de lui-même. Qu'on se demande tous les jours en se réveillant " Pourquoi suis-je donc si faible ?" Et finalement... On s'habitue à ce poids silencieux qui s'accroche à notre âme. C'est peut être pour cela que l'on dit que le temps allège les peines... Alors qu'en faite il ne fait que les rendre immortelles, à jamais dans notre mémoire, fardeau que chacun porte en lui-même jusqu'à sa mort. Même si l’on n’est pas coupable et qu'on a tout fait pour sauver cette personne, une question revient toujours en notre esprit, immuable. " Pourquoi lui ?" Pourquoi est-ce tombé sur lui et pas sur un autre ? Et la tristesse et les larmes l’emportent, sortant de notre corps comme une fontaine maudite, pleine de douleur et de peine. Parce que derrière tout cela, il n'y a plus rien, c'est le néant. Et on n’arrive pas à accepter que c'est la fin, que cette personne qui nous est si chère ne reviendra jamais. Et on pleure l'infinie jusqu'à ce que l'instinct de survie l'emporte et que malgré nous, on fait tout ce qu'on peut pour vivre malgré tout. On se repose sur les autres, pour se soulager. C'est égoïste, mais malheureusement, c'est ainsi. Et seule une petite musique pleine de nostalgie envahit doucement le vide créé par cette personne, et on soulage notre douleur en se mentant, en se disant que cette personne vivra à travers nous... Mais non. Enfaite, tout ce qu'on attend, c'est que cette personne vienne à nous et nous jure que ce n'est pas de notre faute, que malgré tout elle serait morte et qu'elle nous pardonne... Qu'elle nous dit de ne pas pleurer, d'être heureux et de vivre sa vie. Et je suis aussi de ces personnes...Tellement égoïstes.
Ma mort est-elle donc si…Futile ? »
Ceci sera la dernière pensée de Nuage de Mélopée…Lorsqu’il mourra.
Vois-tu… tu seras l’objet de sa pensée lorsqu’il mourra. Et tu verras…
Il trépassera par ta faute. »
Papillon se réveilla en larmes, tremblant de tout son être. C’était la nuit et pourtant, elle était seule dans l’antre des novices. Cette fois-ci, ce n’était pas comme la première fois… Car la première fois, elle ne l’avait pas demandé, ce rêve. Alors que cette fois-ci, la jeune féline voulait retrouver les sensations de la première fois ; cependant c’est tout autre chose qui c’est produit. Qu’est-ce donc que cette chose qui lui parle en rêve… ? Le simple fruit de son imagination ? Ou une entité supérieure qui prenait un malin plaisir à la torturer ?
« Vois-tu, je ne suis ni Bien ni Mal ; Le mélange parfait entre les deux. »
« Qui…Qui est là ?! » Aboya-t-elle.
Seul le silence lui répondit. La chatte mit le museau dehors pour se rafraîchir et essayer d’oublier tout cela mais elle remarqua que tous c’étaient rassemblés sous le Promontoire. *Pourquoi ne m’ont-ils pas réveillée ?* Mais ce n’était pas plus mal. Papillon fila en dehors du camp à toute vitesse, aussi furtive qu’un rêve.
[…]
« Que tous les chats en âge de chasser s’approchent du Promontoire pour une assemblée du clan. »
Deux émeraudes étincelèrent dans la nuit. Tous les félins du clan avaient entendu cet appel lancé par leur chef. Un instant, le jeune Nuage de Mélopée hésita… Il était roulé en boule contre Nuage du Papillon qui n’avait pas entendu l’appel. La laisser seule dans la tanière pour aller devant le Promontoire ou rester avec elle et s’attirer les foudres de son mentor ? La réveiller aurait été simple, mais voir son visage plein de sérénité l’en empêcha. Doucement, avec un soupir de résignation, le mâle se leva discrètement et parti rejoindre son mentor qui l’attendait déjà, sous le Promontoire.
« Mais que faisais-tu, Nuage de Mélopée ? Notre chef a une chose primordiale à nous communiquer. » Son mentor fronça les sourcils un instant, croyant apercevoir une silhouette dans la tanière des novices. Il se figea quelques instants avant de reprendre sa position initial, sûr de n’avoir été que le jouet des mirages de la nuit.
« Je… J’étais entrain de faire une petite sieste Eclat d’Illusion. Ne t’inquiète pas, cela ne se reproduira plus. » Bégaya-t-il à son mentor qui ne l’écoutait plus, les yeux tournés vers le Promontoire, en l’attente de l’arrivée de leur chef.
Nuage de Mélopée soupira doucement avant de se retourner d’un geste vif vers la tanière des apprentis, un sentiment de culpabilité dans son cœur. Il aurait dû la réveiller, mais maintenant s’il partait du Promontoire sans raison et devant les yeux de tous, il aurait des problèmes ainsi que Nuage du Papillon. Le jeune félin eut un instant d’effroi en voyant la tanière vide. Un mouvement furtif attira son attention. Papillon était sortie du camp. Malgré lui, un mauvais pressentiment s’insinua en lui. L’ombre du danger se profilait déjà.
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GreenLeek.
Pro
Nombre de messages : 7
Localisation : Quequ'part.
Date d'inscription : 01/07/2009
| | Sujet: Re: * G r e e n L e e k Mer 1 Juil - 19:09 | |
| It's good. So, vous pouvez poster les gens. | |
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Epy
Doué avec Mention.
Nombre de messages : 10
Age : 29
Localisation : Québec.
Emploi/loisirs : Graph, poésie, écriture, natation, lire.
Humeur : X
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Récompenses et Pénalités
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| | Sujet: Re: * G r e e n L e e k Mer 1 Juil - 19:19 | |
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Zesty Senshi
Admine Citron Anarchiste. Parchemin avec Mention.
Nombre de messages : 155
Age : 27
Localisation : Huhu, je le dis pas à mes amis d'Internet, c'est sûrement pas toi qui le saura x]
Emploi/loisirs : Ecrire ?
Humeur : Misanthrope, comme d'hab'
Date d'inscription : 19/07/2008
Récompenses et Pénalités
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(10/10)
Raison des Pénalités:
Récompenses: Aucune Plume
| | Sujet: Re: * G r e e n L e e k Mer 1 Juil - 19:33 | |
| Ouaouh, GreenLeek =O Tu m'épateras toujours x] Allez je t'évalue bien que cela soit pas vraiment nécessaire XD.
Langue Française : 2/2
Orthographe Irreprochable.
Contenu : 3/3
Je l'aime beaucoup, un style très léger, rêveur, doux, fluide. De jolis passages philosophiques, ce sont des rêves pesants qu'il a là. Il se reveille d'abord en sursaut, puis en larmes, c'est bien recherché.
Bon, je ne mets pas les règles vu que c'est une histoire, du coup j'arrondis le barême.
Le total de points donne 5, tu prends donc le grand rang de ... Pro =D
N'hésite pas à aller gagner des médailles dans les Examens pour les Pros qui ont gravit les échellons.
Bravoo =] | |
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| | Sujet: Re: * G r e e n L e e k | |
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