Nom d'Auteur : Toujours le même=>Perle de Rosée.
Fais moi Poème sur l'Amour:Il est un peu... Même TRES bizzarre, on pourrait même penser qu'il est un peu hors-sujet mais bon, j'avais pas envie de faire un truc du genre: "Et au fond de ses yeux, mon coeur sentit gnagnagnignagnagna..." Parce que tout simplement ça me ressemble pas et ça aurait été nul. J'men fiche si on me traîte de folle, mais au moins, c'est MOI. Bon voila.
Tout est noir.
Les ténèbres m'envahissent.
Allongée sur le sol froid, je sens...
Chaque parcelle de mon corps frémit.
De peur?
De joie?
Je ne saurais le dire...
Un ruisseau coule en moi.
Le ruisseau deviens rivière.
La rivière deviens torrent.
Il entre dans mon coeur,
Tourbillon de noirçeur.
Les ténèbres sont doux.
J'ai l'impression de boire
De grandes et longues gorgées
D'une eau glacée.
Le sang bouillonne en moi
Quand on se touche de l'intérieur.
Eblouie par le noir épais,
Etourdie par le froid, j'ai fais
L'Amour
Avec
Mon Ombre...
. P e r l e d e R o s é e .
Fais moi une nouvelle dans la peau d'un animal au choix:Bon, j'en fais un autre, celui d'avant était... Comment dire? Un peu Walt Disney^^
-"Tu te souviens? Tu te souviens de ce qui s'est passé? Ce que t'as fait? C'est pour ça que tu vas creuver!
-Ce serais vraiment dommage que tu me rates, assassin!
-Cela m'étonnerais bien! Tu as eu mes soeurs, mais moi, tu m'auras pas!
-Tiens tiens..."
Une grande femelle ocelot se dresse devant son petit frère, déja adulte. Ce frère veut se venger. Cette soeur aussi. Au même instant, deux boules de poils dorées se ruent l'une sur l'autre. Au même instant, deux éclairs blancs se frappent. Au même unstant, de la lave de sang jaillit des meuseaux des jeunes félins. Pour comprendre cette tempête... Il faut remonter loin, loin en arrière...
La soeur est née en automne, le frère au printemps. La soeur a vu la portée du frère annéantir sa mère. La soeur a tué les soeurs du frère. Le frère a été sauvé par une harpie sauvage,voyant là un beau repas pour ses enfants. Le frère a tenté de têter la harpie. La harpie a saigné. Est tombée. Une autre mère ocelot avait tout vu, et récupéra le petit. Elle lui a tout enseigné, tout. Le bon, le mauvais, la rage, la générosité, la force, tout. Elle lui a tout appris. Cette mère, c'était une de ses grandes soeurs.
-"C'est vrai, ce que tu raconte? T'es ma soeur? Vraiment?
-Oui, mon petit, oui. Et c'est ton autre soeur qui a tué ta portée.
-Tu crois que je peux me venger?
-Fais ce que je t'ai appris.
-Je dois faire ça?
-Oui."
Ce qu'elle lui avait appris, c'était faire des sacrifices. C'est alors qu'il tua sa première proie.
Devant le cadavre de sa soeur, la soeur n'en pouvait plus. Elle l'avait retrouvé vivant, et, comble du malheur, il avais tué sa propre soeur.
Aveuglée par le sang et la rage, la soeur chargea de nouveau.
-"Tu vas creuver, crotte de rapace!" Feula-t-elle, car les ocelots ne peuvent pas rugir.
Mais avant qu'elle ne touche son frère, elle fut traversée par un petit objet argenté et rouge. Le frère, tétanisé par la suspension en l'air de sa soeur, mourrut sans avoir le temps de la voir tomber. Leurs deux cadavres côtes à côtes, leurs regards figés à jamais dans une expression de peur et de rage.
Un grand homme brun arriva dans la clairière, et pris les deux corps par la queue avant de les emporter. Leurs pelages étaient tachés de sang... Dommage... Bon, il les laveras. ça fera de beaux défilée... Et de beaux bénéfice... Il se lècha les lèvres.
Elle n'aurait pas voulu...
Non...
La mère du frède et de la soeur naurais pas voulu ça...
Fais moi un Thème au choix :-Allez, ma Lolo... Fais pas cette tête là, on se reverra. Allez, fais-moi un sourire.
Je souris, mais mon sourire ressemble un peu à une grimace. C'est pas facile, mais j'arrive quand même a lui tirer la langue en plissant les yeux, mon signe habituel de joie. Il m'embrasse bien fort. Papa... Il embrasse Tony. Puis il lance:
-Allez, je dois y aller, le marché m'attend!
-Ciao!
-Au...revoir...
J'arrive à peine à souffler ces mots. Chaque fois, c'est dur. Trop dur. Je regarde sa silhouette famillière se perdre dans l'escalier. Je serre Tony dans mes bras, très fort, pour m'empècher de le rejoindre en courrant. Je ne peux m'empêcher de pleurer deux ou trois gouttes. La prochaine fois que je le reverrais serais... Quand? En automne? En hiver? Il a dit: "Pendant les vacances de la Toussaint, vous pourrez venir, on pourra se voir... Quand ce put*** de boulot sera terminé." Je l'espère...
*On se reverra, on se reverra, on se reverra...* Je répète inlassablement cette phrase dans ma tête, ce qui n'empêche pas les larmes de franchir la barrière de mes yeux.
-Allez Lolo. Le train arrive.
Me dit doucement Tony. Il me tend son vieux vélo plein de toiles d'araignées puis prend son sac et sa guitare avant de se mettre en quête d'un compartiment libre.
-Toudoulidoum!
Murmure-t-il dans mon oreille. J'éclate d'un rire, je l'avoue, un peu forcé, puis lui répond:
-N'oublie pas de PApillOnnEr!
Il sourit et s'enfonce dans un wagon. Je lui tend son vélo puis entre à mon tour...
A Suivre